The Band of Merry Misfits

The Band of  Merry Misfits

Vous voulez vous débarrasser d'un adversaire économique/politique encombrant ? Une base ennemie a besoin d'être mise à mal ? Ou pire encore ? Ne cherchez pas plus loin, nous avons l'équipe qu'il vous faut. "Aucuns jobs est en-dessous de nous !", telle es la devise des Merry Misfits! Ils étaient tous les pires que la société pouvait offrir seuls (criminels, psychopathes, expériences ratées, alcooliques...), ensembles, ils sont les meilleurs à ce qu'ils font, et ce qu'ils font n'est pas gentils, ni propres ou (rarement) légales.

Faisons une rapide présentation:




Nom / Prénom : Hartigan, Hall'

Nationalité : Américain

Âge : 61 ans

Apparence : Un homme de 1m82 pour 91 kg, bien bâti, les cheveux grisonnant, tout comme la barbe de 5 heure qui semble perpétuellement arborer sa mâchoire et une cicatrice très reconnaisable en forme de "X" sur son front (souvenir de guerre)

Comportement : Hall' Hartigan était un homme qui croyait en le pouvoir immuable de la loi. Il était persuadé que peut importe ce qui pourrait arriver, la justice triompherait. Après plusieurs années passées à surveiller les rues de New York et plusieurs expériences "difficiles" à la guerre, cette foi en la justice a laissé sa place à une forme de cynisme, qui a à son tour conduit à la bouteille. Toutefois, une si grande confiance en la justice ne peut disparaître comme ça; cela se traduit par sa capacité pratiquement surnaturelle à ne jamais abandonner une mission qu'il juge importante, peu importent les obstacles ou le nombre de balles logées dans son corps.

Équipement : Hall' est capable de manipuler à peu près toutes les armes à balle qui existent (longue expérience) mais il favorise son SPAS12 et le magnum.44 donné par son père au début de sa carrière dans les forces de l'ordre. Il a également l'habitude de prendre 2-3 grenades (explosives, flashes ou fumigène, au choix) avec lui en mission. Et si jamais il se retrouvait à court de munition, il cache un cran d'arrêt dans sa manche droite, pour sortie rapide.
Sa tenue favorite consiste en un long trenchcoat par-dessus son uniforme de l'ISM, couvrant un gilet pare-balle réglementaire.

Histoire :
Le petit Hall' venait d'une famille où la justice avait une place importante. Tous ses membres avaient participé à son maintien d'une façon ou d'une autre. Il s'engagea dans les forces de police de New York, comme l'avait fait son père et son grand-père avant lui. Mais avec le temps, et la racaille devenant de plus en plus détestable et ignoble, Hall' avait de plus en plus de mal à se dire qu'il y avait vraiment une justice dans ce monde. Puis la guerre fut déclarée.
Après de nombreuses batailles, d'encore plus nombreux camarades déchiquetés devant ses yeux ou de civiles laissés au milieu des rues après avoir été violés, égorgés et en parti mangés (dans cet ordre-là, s'ils étaient chanceux) et un accident quasi-mortel -il l'aurait été sans l'application d'un traitement expérimental visant à rendre les soldats plus résistant aux blessures et, par effet secondaire, au vieillissement -le petit Hall' est rentré au pays désillusionné.
Il ne trouvait le réconfort qu'au fond d'une bouteille ou en tabassant les petites frappes qui avaient la mauvaise idée de s'en prendre à des innocents sans défense dans son secteur. Ces petits passages-à-tabac attirèrent vite l'attention des forces de police, et finalment celle de l'ISM. Il voyait en Hartigan un terrible gâchis de potentiel, et décida d'y remédier en le mettant à la tête d'une unité...particulière.



Nom / Prénom :Hamilton, Harry

Nationalité : Britannique

Âge : 37 ans

Apparence : Harry n'est pas particulièrement "remarquable" : 1m72 pour 76 kg, des cheveux bruns coupés courts-fouillis et une barbe de 3 jours qu'il travaille très fort pour qu'elle ait l'air négligée de la meilleure façon. Harry aime également avoir la classe. Il porte toujours des vêtements chics (tels que des pantalons de costumes, des redingotes, des cravates...) mais de façon décontractée (boutons laissés ouverts, cravates mal nouée...). C'est SA notion de "classe", après tout.

Comportement : Harry est, pour le dire simplement, un psychopathe. Il aime que les choses soient faites à sa manière, sinon c'est un aller simple pour "6 pieds sous terre". Il a toutefois appris chez les SAS à travailler en équipe et à accepter les critiques...du moment qu'on n'insiste pas trop là-dessus et que la personne qui les ait prononcées ait sauvé la vie à Harry dans les 3 précédentes heures.
Oh, et Harry n'aime pas les gens grossiers...même s'il jure comme un p$µain de chartier de sa m%re.

Équipement : Harry porte sous ses "fringues super cool" un gilet pare-balle de base ainsi qu'un double holster pour ses deux USP.45. Il attache sa M4A1 dans son dos avec une sangle en cuire, sur le devant de laquelle il accroche ses deux grenades (une fumigène et une incendiaire à chaque fois).

Histoire :
Harry Hamilton montra très jeune des signes de troubles du comportement (extrême violence et indifférence vis-à-vis de cette dernière). Cela intéressa vite les forces spéciales, qui voyaient en lui un potentiel prometteur. Il n'avait pas complètement tord, puisque Harry devint rapidement le SAS avec le plus haut kill count de sa promotion (et ce à un très jeune âge). Malheureusement, ça se fit au détriment de l'espérance de vie de ses équipiers, que se soit à cause des plans dangereux qu'il mettait au point, ou une balle perdue à la suite d'une dispute. Malgré son taux de réussité extrêmement élevé, le SAS ne pouvait pas le garder, puisque très vite, plus personne ne voulait travailler avec lui.
Harry se reconvertit alors dans le mercenariat. Ca marchait bien, pendant un temps. Mais les dégâts collatéraux étan bien trop élevés, il finit par perdre ses clients, et avec, son moyen de canaliser son agressivité. Jusqu'à ce qu'une lettre ne lui parvienne, lui demandant s'il serait intéressé d'entre à l'ISM, dans une équipe...particulière.


Nom / Prénom : Milligan, Abbigail ("Abby")

Nationalité : Zimbabwéenne

Âge : 32 ans

Apparence :  Une femme d’1m70 pour 87 kg (un bras bionique, ça pèse son poids) avec des cheveux noirs coiffés en dreadlocks, avec un visage pouvant passer du plus chaleureux sourire que vous puissiez voir à un regard noir qui ferait baisser les yeux à un ours enragé.

Comportement : Abby a passé presque toute sa vie sous la tutelle d’un ordre d’assassins orientaux. Cela lui a appris à contrôler parfaitement ses émotions. Cependant, elle n’aime pas les refouler si elle peut l’éviter (c’est-à-dire lorsqu’elle n’est pas en train de tuer quelqu’un), et demeure ainsi une personne très sympathique, patiente et chaleureuse. Elle peut toutefois passer en mode « tueuse » sur commande pour faire revenir le calme, ou simplement foutre la trouille à ses camarades.

Équipement : Abby ne se sépare jamais de son katana, cadeau de son sensei à l’occasion de son entrée dans l’ordre. Il est quasiment indestructible et, lorsqu’il est parcouru d’un courant électrique (comme celui produit par son bras bionique) peut trancher à peu près n’importe quel matériau. Elle est aussi capable de l’utiliser avec un wakizachi pouvant se rétracter en un petit rectangle métallique (pour faciliter le transport). Pour le combat à distance, Abby utilise une MP5 SP2 avec silencieux, ainsi que 3 grenades flash. Pour se protéger, elle porte un prototype de bouclier énergétique, capable d’encaisser un certain nombre de coups avant de se désactiver (tant de refroidissement : 13 secondes).

Histoire :
Les parents de Abby (ainsi que le reste de son village) furent massacrés par l’ordre de La Main Ecarlate. Mais quand un de ses membres (et futur leader) découvrit une enfant de 6 ans, terrifiée mais le menaçant avec un couteau de cuisine, il ne put se résoudre à la tuer et décida de l’entraîner dans les voies des assassins avec sa nièce, Rika. Il devint en quelque sorte une nouvelle figure paternelle et les deux filles développèrent une relation amitié-rivalité. Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’au jour où son sensei fut gravement blesser en mission qu’il devint claire qu’il ne pourrait pas s’en sortir. La question de la succession fut vite abordée, et tout semblait pointer vers Rika. Quelle fut la surprise de l’assemblée quand le maître révéla qu’il nommait Abby. Rika n’accepta pas bien la nouvelle et défia son amie-rivale de toujours à un combat à mort. Ce dernier se conclut par la perte de quelques tripes pour Rika et celle du bras droit d’Abby, ainsi que sa chute vers ce qui semblait être sa fin. Cependant, par on ne sait qu’elle miracle, elle s’en tira et fuit vers le Bloc du Nord. Là, elle reçut des soins, mais fut également interrogée par les autorités. Lorsqu’ils découvrirent à qui ils avaient affaires (et qu’il fut démontré qu’elle n’était pas un espion, avec un pourcentage de précision de l’analyse supérieur à 95%), l’ISM la contacta pour lui proposer de mettre ses talents à leurs services.


Nom / Prénom : Pilgrim, Lucy

Nationalité : Américaine

Âge : 19 ans

Apparence : Une petite femme (1m58) pour 62kg, Lucy est malgré tout assez facile à repérer dans une foule. Elle a des cheveux mi- longs teints en violet pétant, porte un manteau rapiécé trois fois trop grand pour elle au-dessus d’un vieux sweat-shirt rose délavé et rongé par les mites (ou un T-Shirt rock bien abîmé s’il fait chaud) et des leggings noirs qui ont plus de trous qu’un fromage suisse.

Comportement : Lucy, suite à une vie difficile dans les rues de Chicago, peut paraître quelque peu abrasive, voire cynique et quelque peu égoïste. Mais derrière cette facade, se cache un esprit curieux, libre de tout préjugé et incroyablement débrouillard.  Mais quand même sarcastique.

Équipement : A part un gilet pare-balle léger marqué du sigle de l’ISM, Lucy ne prend avec elle que son sac à dos « à merveilles » (c’est-à-dire plein de bout de ferraille et autres trucs qu’elle a trouvé dans les poubelles ou dans un coin de rue). En effet, une série d’implants expérimentaux greffés dans son cerveau lui donnent la capacité d’analyser tout ce qu’elle voit et, à partir de cela, de construire à peu près n’importe quoi : un système de surveillance à partir de vieux iPhones et de 3-4 bouts de fils de fer, une grenade à partir d’une boite de conserve et de farine…

Histoire :
Ses parents étant morts alors qu’elle n’était encore qu’un enfant, Lucy a passé une bonne partie de son enfance dans un orphelinat, puis dans la rue. C’est là qu’elle a pu mettre à profit son ingéniosité, en arnaquant passant ET petites frappes sans aucuns soucis. Puis, un jour, elle réussi à mettre la main sur des implants expérimentaux sensés permettre de se connecter à n’importe quel ordinateur et ainsi mettre sur pied la plus grosse arnaque du siècle et se faire un max d’oseilles. Après une opération allant à l’encontre de toutes les règles sanitaires imaginables, elle se rendit compte que ses nouveaux machins métallique enfoncés dans son cortex ne pouvaient pas la connecter à un ordinateur. Ils pouvaient par contre lui montrer comment construire un appareil pouvant décoder n’importe quel algorithme de sécurité avec une vieille calculatrice du fil de cuivre, un peu de réglisse et un vieux routeur derrière une boite de strip-tease. Après s’être introduit dans les sites de la NSA, de la CIA et du FBI pour tester sa machine, Lucy fut arrêté par les autorités (qui furent bien surprises de voir que le responsable de la plus grosse brèche de sécurité de la décennie était à peine une adulte) qui lui proposèrent un deal : finirent le reste de ses jours en prison ou mettre ses talents au service du Bloc du Nord. Etant légèrement allergique aux espaces clos, elle décida de rejoindre la nouvelle unité de l’ISM.


Nom / Prénom : Vonackhab, Ishmael  « Ish »

Nationalité : Inconnu

Âge : Inconnu (probablement dans les 20)

Apparence : Ishmael est un véritable géant, mesurant pas loin de 2m20, avec la force physique qu’on en attend! Son corps est couvert de cicatrices ou de tatouages. Deux ressortent particulièrement : un « IV » sur son pectoral gauche et un « ISM » ultra-stylisé (cordage de bateau entoure les lettres, avec une baleine blanche percée d’un harpon au bas) sur son dos. Son visage, quand il n’est pas caché par un masque, est terriblement mutilé : il est presque entièrement démuni de pilosité,  brûlures et greffes de peau abondent et son œil droit est mort.

Comportement : Malgré son apparence intimidante, Ishmael est quelqu’un de très calme et intelligent (c’est un ardent lecteur)…jusqu’à ce qu’il fasse une de ses crises berserk. Les moins sévères, qui peuvent se déclencher à n’importe quel moment, peuvent lui faire arracher la tête de la personne se trouvant à côté de lui d’une simple claque. Les plus terribles, qui sont déclenché par un rapport à son passé, le transforment en une force de la nature, insensible à la souffrance ou la fatigue, qui ne s’arrête que lorsque l’objet de sa rage n’est plus qu’une trace rouge sur ses poings.

Équipement : Ishmael utilise comme arme de mêlée principale la hache à incendie qu’il a ramassé durant son évasion du complexe scientifique. Depuis, il l’a décoré de symboles étranges et la considère comme un porte-bonheur. Dans le cas où il ne peut pas s’en servir, il n’a aucun problème à transformer des objets totalement banaux en outils mortels. Ses poings, recouverts de protections en métal, doivent également être comptés comme armes dangereuses. En combat à distance, il utilise un shotgun/tromblon que Lucy lui a construit.

Histoire :
Ishmael fait partie d’une série d’expériences visant à créer des super-soldats. Il appartient à la seconde vague, où des bébés étaient dès la naissance convertis en des armes par le biais de greffes et autres modifications corporelles (la première vague consistait en des bébés génétiquement modifiés—échec cuisant : aucuns test n’a survécut la naissance—et la troisième en des enfants recevant un entrainement intensifs dès leur plus jeunes âge ainsi que des cocktails de drogues pour booster leur performances). Ces modifications avaient des effets néfastes sur la psyché des sujets, allant de tendances dépressives à accès de colère incontrôlables. C’est ainsi que « Sujet IV », dans un de ces épisodes psychotiques et sous une envie de connaître la liberté, s’évada du complexe. Après une longue et difficile marche, il parvint à retrouver la civilisation, et avec beaucoup d’effort, à se faire soigner. Ses tendances à partir en vrille pour un rien finirent par le mettre au ban de la société, et le seul endroit où il se sentait relativement bien était une arène de combat de rue. Là, il devint une légende, « l’invincible titan masqué » : chacun de ses combats finissait par le mort ou l’hospitalisation grave de ses adversaires, si bien qu’il fut parfois engagé comme moyen d’exécution. C’est à la suite d’un de ses combats, alors qu’il relisait « Moby Dick » pour la nième fois qu’Ishmael fut abordé par des hommes en costume disant venir d’une société nommée « ISM ». Ces hommes lui proposèrent de venir travailler pour eux, en lui offrant un moyen de ventiler ses accès de colère, et d’obtenir le respect et l’appréciation qu’il désirait tant.